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Pourquoi choisir de devenir le créateur de ma vie ?

Nous connaissons tous cette sensation : la journée s’achève, et nous avons l’impression qu’elle a glissé entre nos doigts sans que nous ayons vraiment choisi quoi que ce soit. On subit notre agenda, nos habitudes, les attentes des autres et parfois, la seule chose qui change, c’est le jour sur le calendrier.

Choisir de devenir le créateur de ma vie ne signifie pas me croire maître absolu de tout. Loin de moi cette idée ! C’est une posture humble et puissante qui accepte la part d’influence que nous avons de reprendre notre capacité à répondre, plutôt qu’à simplement réagir et orienter nos micro-choix vers ce qui compte vraiment. Cette décision transforme notre relation au temps, au travail, aux autres et, surtout, à nous-mêmes.

Dans cet article, nous allons d’abord comprendre pourquoi ce choix est essentiel (psychologie, habitudes, sens), puis voir ce qui nous empêche d’y parvenir (peurs, automatismes, croyances limitantes). Enfin, nous aborderons des étapes concrètes et applicables, des micro-actions quotidiennes aux changements de posture pour que la création de notre vie cesse d’être une idée et devienne une pratique.

Si vous reconnaissez ce besoin de reprendre la main, vous trouverez des outils simples, des illustrations concrètes et des invitations à l’action pour que, progressivement, nous devenions les auteurs de nos prochains chapitres.

1.      Prendre conscience que nous ne sommes pas toujours aux commandes.

 

Nous avons souvent l’impression de choisir librement notre vie. Pourtant, bien souvent, nos décisions ne sont que des réactions conditionnées. Nous croyons décider… mais nos pensées, nos émotions et nos comportements sont largement influencés par notre passé, notre environnement et nos habitudes.

Nos journées s’enchaînent comme des scénarios bien rodés : mêmes gestes, mêmes chemins, mêmes mots, mêmes excuses. Ce que nous appelons « notre personnalité » est souvent le résultat de programmes invisibles qui se répètent depuis des années. Nous agissons sans nous en rendre compte selon des automatismes forgés par l’éducation, la culture, les croyances familiales et les expériences marquantes.

Les neurosciences confirment que dans les soixante mille pensées que nous aurons en une journée plus de 90 % sont identiques à celles de la veille.
Autrement dit, si nous ne remettons rien en question, rien ne change.

Prenons un exemple simple : combien de fois disons-nous « je n’ai pas le temps » ?

En réalité, ce n’est pas une question de temps, mais de choix. Ce que nous appelons « manque de temps » dissimule souvent une hiérarchie implicite de priorités : ce à quoi nous disons oui… et tout ce à quoi nous disons non sans le savoir.

J’insiste, mais c’est la base, vous pouvez lire : Comment distinguer ce qui dépend de nous : le guide stoïcien pour reprendre le contrôle de notre vie. — Nos états d’Am’s

Le premier pas pour devenir le créateur de notre vie, c’est donc celui de la lucidité.

Avant d’agir, il s’agit d’observer :

  • Quelles sont mes routines automatiques ?
  • Quelles émotions dirigent mes réactions ?
  • Quelles croyances me guident sans que je les aie jamais remises en cause ?

 

Cette observation n’a rien d’un jugement. C’est un acte de conscience, un regard honnête posé sur nos schémas. Comme un capitaine qui réalise enfin qu’il navigue sans gouvernail, nous redécouvrons alors la possibilité de reprendre la barre.

Lorsque nous comprenons que nos pensées ne sont pas toujours les nôtres, que nos peurs sont souvent héritées de nos aïeuls, que nos habitudes ne reflètent pas toujours nos valeurs, une porte s’ouvre : celle de la liberté intérieure.

Et cette liberté commence toujours par un simple mot : « Stop. »

Stop à l’automatisme. Stop à la réaction. Stop à la croyance que « c’est plus fort que moi. »

 

À partir de ce moment, nous ne subissons plus, nous choisissons de voir. Et voir, c’est déjà commencer à créer.

2.      Devenir créateur, c’est reprendre la responsabilité (et non la culpabilité).

 

Prendre conscience que nous ne sommes pas toujours aux commandes est un premier pas essentiel.

Mais la conscience seule ne suffit pas : il nous faut reprendre la responsabilité de ce que nous créons, ici et maintenant.

Ce mot de responsabilité effraie parfois, car il évoque à tort la culpabilité.

Pourtant, les deux notions n’ont rien à voir.

 La culpabilité regarde le passé : elle fige, elle juge, elle enferme.

La responsabilité regarde le présent : elle ouvre, elle invite à répondre, à agir autrement.

 

Être responsable, dans son sens étymologique, c’est avoir la capacité de répondre (response-ability). C’est reconnaître que, si nous ne choisissons pas tout ce qui nous arrive, nous avons toujours le loisir de choisir la manière dont nous y répondons.

Là réside notre plus grand pouvoir : celui de choisir notre attitude et ça a changé ma vie!

Les stoïciens l’avaient parfaitement compris.

Épictète rappelait que «ce ne sont pas les événements qui troublent les hommes, mais la manière dont ils les interprètent.»

Autrement dit, ce n’est pas ce qui se passe qui détermine notre vie, mais le sens que nous donnons à ce qui se passe.

 

Reprendre la responsabilité, c’est donc passer d’un monde subi à un monde choisi.

C’est quitter la posture de victime «Pourquoi cela m’arrive-t-il?» pour adopter celle du créateur «Que vais-je faire de ce qu’il m’arrive?».

Cette bascule peut sembler subtile, mais elle change tout.

Elle transforme l’énergie du désespoir en énergie de création.

Elle remplace le «je ne peux pas faire» par «je vois ce que je peux faire».

Cela ne veut pas dire tout maîtriser ni se charger de ce qui ne dépend pas de nous.

La sagesse consiste à faire la distinction entre ce qui est de notre ressort et ce qui ne l’est pas.

Le reste, il s’agit d’apprendre à le laisser aller avec confiance.

Dans le cadre du coaching comme dans la vie quotidienne, cette posture change radicalement nos relations :

  • Nous cessons d’attendre que les autres changent pour aller mieux.
  • Nous arrêtons de rendre le passé responsable de notre présent.
  • Nous redevenons auteurs, même au milieu de l’incertitude.

Reprendre la responsabilité, c’est redevenir adulte face à la vie : lucide, libre, et capable de répondre.

Et chaque fois que nous faisons ce choix, nous renforçons notre pouvoir intérieur en celui d’un être qui ne subit plus, mais crée à partir de ce qui est.

 

3.      Le pouvoir du choix : la clé de toute transformation.

 

Nous avons tendance à sous-estimer la puissance de nos choix.

Pourtant, chaque journée est façonnée par une multitude de microdécisions : à quoi nous pensons au réveil, comment nous parlons, ce que nous mangeons, ce à quoi nous accordons notre attention.

Chaque geste, chaque mot, chaque pensée est une brique de construction de notre existence.

Devenir le créateur de notre vie, c’est réaliser que chaque instant nous offre un choix : celui de continuer sur le mode automatique ou celui d’agir avec intention et conscience.

Nous ne choisissons pas toujours les événements, mais nous choisissons toujours la signification que nous leur donnons et la direction que nous leur faisons prendre.

Les neurosciences confirment cette idée : notre cerveau se reconfigure en permanence selon ce que nous répétons. C’est ce qu’on appelle la plasticité cérébrale.

Chaque pensée, chaque comportement active des réseaux neuronaux.

Plus nous répétons une attitude, plus ces connexions deviennent solides, jusqu’à créer une véritable autoroute neuronale.

Ainsi, lorsque nous choisissons consciemment de changer un schéma. Par exemple de passer de «je ne suis pas capable» à «je peux apprendre» ; de «je ne comprends rien!» la phrase préférée de mes élèves, à «je vais tout faire pour comprendre» nous reprogrammons littéralement notre cerveau.

Ces choix de mots peuvent sembler insignifiants… mais cumulés, ils deviennent des transformations durables.

Un pas, répété chaque jour, finit par changer le paysage.
C’est dans cette constance que naît la création de soi.
Et revient à ma mémoire la citation d’Aristote : «Nous sommes ce que nous faisons de manière répétée. L’excellence n’est donc pas un acte, mais une habitude.»

Nos choix sont des graines. Certains donnent des fleurs, d’autres des ronces.

Mais la bonne nouvelle, c’est que nous pouvons choisir les graines que nous semons.

En décidant de nourrir des pensées constructives, d’adopter une parole plus bienveillante, d’agir selon nos valeurs, nous changeons progressivement le sol de notre vie.

Et plus nous faisons ce choix consciemment, plus il devient naturel.

Le créateur de sa vie n’attend pas le grand bouleversement : il choisit de planter aujourd’hui ce qu’il souhaite récolter demain.

 

4.      Créer sa vie, c’est cultiver une vision.

 

Lorsque nous décidons de devenir les créateurs de notre vie, une question essentielle surgit :

Que voulons-nous vraiment créer ?

Nous passons parfois des années à courir, à produire, à réagir, sans savoir vers quoi nous avançons.

Sans direction, nous avançons vite… mais sans cap.

C’est un peu comme si nous étions d’excellents rameurs, mais sur la mauvaise rivière.

 

Créer sa vie, c’est donc commencer par se donner une vision.

Pas une vision parfaite ni figée, mais une direction claire, un Nord intérieur.

Cette vision, c’est la boussole qui guide nos choix et donne du sens à nos efforts.

Elle n’a pas besoin d’être grandiose.

Elle peut tenir dans une phrase simple :

  • «Je veux vivre en cohérence avec mes valeurs.»
  • «Je veux contribuer à un monde plus humain et respectueux de la nature.»
  • «Je veux cultiver la paix intérieure et la liberté.»

Ce n’est pas la taille de la vision qui compte, mais son authenticité.

Sans vision, nous sommes vulnérables aux distractions.

Nous risquons de vivre selon les priorités des autres : celles de la société, de la peur ou du confort.

Mais lorsque nous savons ce que nous voulons, chaque choix devient plus simple.

Nous apprenons à dire non à ce qui nous éloigne, et oui à ce qui nous aligne.

 

La vision agit comme un filtre.

Elle nous aide à hiérarchiser, à canaliser notre énergie, à reconnaître ce qui mérite vraiment notre attention. Et surtout, elle nourrit notre motivation. Car sans sens, l’effort devient souffrance.

Mais lorsque nous savons pourquoi nous faisons les choses, même la difficulté devient énergie.

Créer sa vie, c’est donc planter une intention.

Une intention sincère, alignée avec nos valeurs et notre essence.

Puis, jour après jour, ajuster notre trajectoire en fonction de cette étoile.

Et si la vision évolue, c’est normal. Nous grandissons, nous apprenons, nous découvrons d’autres chemins.

Le créateur de sa vie ne s’enferme pas dans un plan rigide : il reste attentif, adaptable, et fidèle à l’esprit de sa vision plutôt qu’à sa forme.

Ainsi, notre vie cesse d’être une succession d’objectifs… pour devenir une œuvre vivante.

Une œuvre qui respire, se transforme, et témoigne d’une cohérence profonde entre ce que nous pensons, disons et faisons.

5.      Les obstacles intérieurs : nos plus beaux matériaux de création.

Quand nous décidons de devenir les créateurs de notre vie, nous rêvons souvent d’un chemin fluide, sans heurts, où tout s’aligne naturellement.

Mais la réalité est tout autre : le chemin de la création passe par la confrontation avec nos résistances intérieures.

Nos peurs, nos doutes, nos colères, nos blessures ne sont pas des ennemis : ce sont des matières premières.

Elles révèlent les zones où nous avons encore quelque chose à apprendre, à transformer, à comprendre de nous-mêmes.

Les stoïciens l’avaient déjà compris :

« L’obstacle à l’action fait avancer l’action. Ce qui fait obstacle devient la voie. » — Marc Aurèle

Autrement dit, l’obstacle n’est pas ce qui nous empêche d’avancer, mais ce qui nous invite à grandir.

  • La peur nous pousse à cultiver le courage.
  • Le doute nous invite à la clarté.
  • La frustration nous apprend la patience.
  • L’échec nous enseigne la persévérance.

Chaque émotion inconfortable contient un message.

Plutôt que de chercher à les fuir, nous pouvons les accueillir, les écouter et les transformer en énergie constructive.

Les neurosciences et la psychologie positive confirment ce que les sagesses anciennes savaient déjà : notre cerveau s’adapte aux difficultés.

Lorsqu’il rencontre un défi, il crée de nouvelles connexions, renforce les circuits de la résilience et développe la capacité à faire face.

Autrement dit, l’adversité nous muscle intérieurement, à condition d’en faire une expérience consciente.

C’est là que se joue la différence entre subir un obstacle et le transformer :

Subir, c’est se plaindre et se contracter. àTransformer, c’est respirer, comprendre, agir autrement.

Et plus nous répétons ce processus, plus nous devenons solides, souples, et créatifs face à la vie.

Le créateur de sa vie ne cherche donc pas à éviter les tempêtes. Il apprend à danser sous la pluie.

Il sait que ce n’est pas l’absence de problème qui fait la paix intérieure, mais la capacité à traverser les épreuves sans s’y perdre.

En changeant notre regard sur les obstacles, nous découvrons qu’ils ne sont plus des murs, mais des marches.

Des marches qui nous élèvent, pas à pas, vers la meilleure version de nous-mêmes.

6.      Créer sa vie, c’est aussi co-créer avec le monde.

Devenir le créateur de sa vie ne signifie pas vivre en autarcie ni chercher à tout maîtriser.

C’est au contraire reconnaître que nous faisons partie d’un ensemble vivant, intelligent et interconnecté.

Créer sa vie, ce n’est pas imposer sa volonté au monde c’est apprendre à tourner avec lui.

Nous ne créons jamais seuls. Nos pensées, nos émotions, nos gestes résonnent dans un tissu invisible de relations : avec les autres, la nature, les circonstances.

Chaque rencontre, chaque événement, chaque obstacle devient une opportunité de co-création.

Et plus nous avançons consciemment, plus nous voyons que la vie répond à notre attitude.

Lorsque nous semons la bienveillance, nous récoltons la confiance.

Lorsque nous agissons avec clarté, les coïncidences semblent s’enchaîner.

Ce que certains appellent hasard, d’autres le nomment synchronicité.

C’est cette impression subtile que le monde s’accorde à notre vibration intérieure.

Le stoïcien l’appelle l’accord avec la nature : vivre en harmonie avec ce qui est, plutôt que contre ce qui est.

C’est une posture d’humilité et de coopération.

Nous reconnaissons que nous ne contrôlons pas les événements, mais nous pouvons choisir de collaborer avec la réalité, d’y participer pleinement.

Créer sa vie, c’est donc co-créer :

  • Avec le monde, en agissant selon nos valeurs plutôt que contre nos frustrations.
  • Avec les autres, en cultivant des relations nourrissantes, sincères et respectueuses.
  • Avec la vie elle-même, en lui faisant confiance, même lorsqu’elle semble nous contrarier.

Quand nous cessons de croire que tout dépend de nous, nous nous allégeons.

Nous retrouvons cette liberté intérieure qui vient de la confiance : ce qui doit arriver arrivera ; ce qui dépend de moi, je le ferai avec cœur.

Cette alliance entre action consciente et lâcher-prise constitue la véritable maîtrise de soi.

Le créateur de sa vie agit, mais il n’impose pas. Il sème, mais laisse le temps faire pousser.

Il apprend à écouter les signes, à ajuster sa trajectoire, à accueillir l’imprévu comme un partenaire de route.

Ainsi, la création devient un dialogue constant entre notre intention et la réponse du monde.

Et dans ce dialogue, nous découvrons un secret : plus nous coopérons avec la vie, plus elle coopère avec nous.

7.      Passer à l’action : devenir le créateur, pas seulement le rêveur.

Nous pouvons lire, réfléchir, méditer, comprendre… Mais tant que rien ne change dans nos actions, notre vie reste la même.

La création ne naît pas des intentions, mais des gestes petits, concrets, répétés.

Nous avons parfois tendance à attendre « le bon moment », la bonne énergie, le bon alignement ». Mais la vérité, c’est que le moment parfait n’existe pas.

C’est l’action qui crée la clarté, pas l’inverse.

Chaque pas, même minuscule, nous rapproche de la vie que nous voulons construire.

«Commence là où tu es, avec ce que tu as, fais ce que tu peux.» — Arthur Ashe

Le passage à l’action, c’est le moment où l’idée devient incarnation.

C’est le pont entre le monde intérieur (nos pensées, nos désirs, nos rêves) et le monde réel.

Et c’est souvent ce pont qui manque.

Créer sa vie, ce n’est pas attendre d’avoir confiance en soi :

C’est agir pour la développer.

C’est oser, se tromper, apprendre, ajuster.

C’est avancer, même dans le flou, parce que l’élan de vie se trouve dans le mouvement, pas dans la perfection.

La psychologie motivationnelle nous enseigne que l’action précède souvent la motivation.

En d’autres termes : ce n’est pas parce que nous sommes motivés que nous agissons ; c’est parce que nous agissons que la motivation s’active.

Chaque petit pas génère une micro-victoire, qui renforce la confiance, puis relance le mouvement.

Ainsi, pour devenir le créateur de notre vie :

  • Nous décidons de poser un premier geste, même symbolique.
  • Nous célébrons les progrès, aussi modestes soient-ils.
  • Nous persistons, même lorsque le doute revient.

C’est la persévérance consciente qui fait la différence.

Non pas une obstination rigide, mais une fidélité à notre intention profonde.

Car la création de soi n’est pas un sprint : c’est une œuvre qui se façonne au fil du temps.

Chaque jour est une nouvelle toile.

Certains jours, la peinture sera lumineuse ; d’autres, plus sombres.

Mais c’est l’ensemble qui raconte notre histoire.

Et cette histoire mérite d’être vécue par choix, pas par hasard.

Elle commence toujours par une décision simple :

« Aujourd’hui, je choisis d’agir, même un peu, pour devenir le créateur de ma vie. »

Conclusion : redevenir l’artiste de notre existence.

Devenir le créateur de notre vie, ce n’est pas tout contrôler ni tout réussir. C’est oser reprendre le pinceau, même quand la toile semble abîmée. C’est accepter que nos erreurs fassent partie de l’œuvre, que nos doutes soient les ombres nécessaires à la lumière. C’est choisir, chaque jour, de ne plus subir le scénario écrit par nos peurs, nos croyances ou le regard des autres.

Quand nous décidons de redevenir les auteurs de notre vie, quelque chose bascule en nous.
Nous passons du mode « spectateur » au mode « acteur ». Nous cessons d’attendre que les circonstances changent et nous choisissons d’être le changement. Ce n’est pas toujours simple, mais c’est profondément libérateur.

Alors oui, cela demande du courage. Le courage de se regarder honnêtement. Le courage de dire non à ce qui nous enferme.

Et surtout, le courage de dire oui à la vie… la vraie, celle que nous créons pas à pas, avec intention et gratitude.

Peut-être qu’au fond, devenir le créateur de notre vie, c’est simplement se souvenir que nous avons toujours eu ce pouvoir. Et qu’il ne tient qu’à nous de le réveiller pour avancer un pas de plus.

À très vite pour la suite

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